Encore une journée orageuse à errer dans les villes et faire du shopping.
Au retour mon excursion au Sunmall, je tombe sur un petit stand de takoyaki, des boulettes au poulpe originaires d’Osaka, que je n’ai encore jamais goûtées et décide d’en ramener au studio pour l’apéro. Évidemment, personne ne m’a prévenu que c’était aussi bouillant que du métal en fusion à l’intérieur, et je m’en enfile une entière dans la bouche. Moi qui suis nekojita* puissance 1000, je suis pas loin d’appeler les urgences.
(* littéralement « langue de chat » = qui craint la nourriture trop chaude).
Le soir, nous rejoignons Kiyo qui a décidé de nous emmener faire un apéro classieux au dernier étage de l’Oriental Hotel, ambiance Suntory Time (oui, comme je l’ai dit plus tôt, à l’époque, Lost In Translation, sorti seulement 3 ans avant, était bien l’une des mes seules rares références en rapport avec le Japon. Je vous rappelle qu’avant ce voyage, le Japon était bien loin de mes centres d’intérêt : ni manga, ni anime, ni drama, encore moins de blogs ou de forums sur le sujet).
Nous rejoignons ensuite d’autres amis dans un izakaya, pour une ambiance un peu plus « bonne franquette ».
Et nous rejoignons ensuite tout le monde à Border, pour une soirée Drum’n bass (le principal genre musical à l’époque à Hiroshima) où des amis passent des disques.
Puis à l’aube, avec les derniers survivants, nous allons terminer la soirée dans cet endroit mythique, bien connu des noctambules, qu’est Ganko Yatai. J’y ai consacré un article ici.
Journée ensoleillée. Nous allons rendre une petite visite aux copains au bureau AUX, où ils ont reçu leurs nouveaux t-shirts.
Puis le soir, rendez-vous dans un restau à okonomiyaki (okonomiyaki d’Hiroshima et d’Osaka), où Hide vient accompagné de sa fille, Hanon.
Je suis étonnée de voir qu’on laisse des enfants jouer librement autour d’une plaque brûlante sans s’inquiéter, et cela, jusqu’à des heures très tardives pour des enfants de cet âge.
Hanon a maintenant 13 ans et 2 petites sœurs : Coton et Miron (oui, ils aiment bien les prénoms qui riment au Japon).
Après ça, un petit verre à Koba pour retrouver Shin-chan, Kenta et Bom.
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